Archive pour décembre 2015
Le nouveau Wiko Highway Star 4G : beau, puissant et pas cher.
Avec le Highway Star 4G, fer de lance des téléphones Wiko, vous pourrez, pour à peine 399 euros, vous procurer un téléphone séduisant, avec une coque en aluminium aux teintes argent, champagne, gris ou turquoise, la sublime couleur qui a servi au test du modèle.
Traitement et affichage
C’est vrai, le prix du Highway Star 4G ne figure pas parmi les plus bas du marché ; néanmoins, vous en aurez largement pour votre argent. Le Highway Star 4G est doté d’un écran en verre résistant aux rayures. De plus, la coque est faite d’un joli métal et s’intègre parfaitement à la structure du téléphone.
L’écran Amoled, très brillant, est pourvu d’une bonne luminosité. En revanche, la résolution n’est pas Full HD, mais en 720p. La caméra du Wiko Highway Star 4G offre une bonne qualité d’image, un équipement photo très complet et même un flash en façade avant pour les selfies. Wiko prend donc très au sérieux la fonction caméra, contrairement à la marque à la pomme. Donc, avec cet objet, vous aurez d’une part, la caméra principale avec 13 mégapixels, d’autre part, un 5 mégapixels pour la caméra selfie, également pourvues d’un flash. Excellent !
Le Wiko Highway Star 4G propose sept modes de prise de vue, dont le HDR et d’autres fonctionnalités telles que le “Smile Shutter”. Même un mode Pro est proposé. L’utilisateur expérimenté pourra paramétrer toutes les options de l’appareil photo avec précision. Les vidéos ne sont pas en reste avec un superbe Full HD.
Le processeur Qualcomm fait le job, il délivre une puissance de 1, 5 GHz avec une architecture octocœur. En outre, nous apprécions la possibilité d’insérer une double carte SIM dans une fente “hybride”. Notons enfin la présence d’un connecteur pour carte micro SD.
L’interface utilisateur simplifiée au maximum fonctionne sous Android. Seules les icônes ont leur propre design, très esthétique. Pour finir, la batterie propose des performances irréprochables. Elle durera près de 22 heures en fonction téléphone et plus de 7 heures en utilisation Internet.
Pour conclure, le Wiko Highway Star 4G correspond tout à fait aux standards actuels de haute qualité. Mais avec son design, parmi les plus beaux du marché, sa puissance, la qualité de son écran Amoled et sa caméra performante, vous aurez en votre possession un téléphone haut de gamme, pour un prix défiant toute concurrence sur ce créneau. Alors, n’hésitez pas, faites-vous plaisir et faites la “star” avec votre superbe Highway 4G !
Note de la rédaction: 18,5/20
Laurent Amar
Une majorité de DSI français prévoit de migrer vers Windows 10 d’ici fin 2017
La Balise GPS TiFiz, pour tout retrouver, présentée à Las Vegas
Peur d’égarer ou de vous faire voler vos bagages, voitures, scooters, vélos, voiliers ?
Pour plus de tranquillité, Ticatag a conçu la balise GPS TiFiz, un moyen simple et pratique, pour les localiser en cas de perte ou de vol.
Savoir où sont ses proches? TiFiz informe de la position de chacun et rassure tout le monde.
TiFiz est facile à installer, pas besoin de le brancher, il fonctionne avec une simple pile pour une durée d’une année. Une application web et mobile alerte dès que TiFiz sort de son périmètre et affiche sa position sur un plan.
Pour les professionnels, TiFiz est également une solution économique pour surveiller son matériel ou gérer une flotte de véhicules.
La balise TiFiz est certifiée SIGFOX ReadyTM, lui assurant ainsi une connectivité optimale et sans frontières, partout où le réseau SIGFOX dédié à l’Internet des Objets est disponible.
Tribune: La déferlante des objets connectés dans l’entreprise : le paradis des hackers.
L’omniprésence des services, objets connectés et des capteurs en entreprise (caméras de surveillance, portiques d’entrée, serveurs, logiciels, imprimantes ou climatiseurs) pose indéniablement un sérieux problème de sécurité. Connectés en permanence, ces objets sont exposés à tous les risques d’Internet.
Cependant, en étant non-sécurisés ou en ne disposant généralement que d’un niveau de sécurité encore très faible, ils représentent une cible de premier choix pour les pirates informatiques et sont de réels vecteurs d’attaques pour récupérer des données sensibles ou mettre à mal le système informatique d’une entreprise.
L’origine du problème
La majorité des nouveaux objets connectés présents en entreprise sont développés par des constructeurs non spécialistes des problèmes de sécurité informatique et difficilement gérés par le pôle de sécurité de l’entreprise. Les concepteurs ne pensent pas forcément à fortement sécuriser les objets qu’ils développent, n’imaginant pas qu’ils puissent être la source de cyberattaques.
Dans son dernier rapport intitulé IBM 2015 Cyber Security Intelligence Index, IBM dresse un panorama global des incidents et cyber-attaques traités par ses services opérationnels. Parmi les statistiques publiées, on y apprend par exemple que plus de 30% des attaques et autres incidents de sécurité sont d’origine interne.
Des vecteurs de cyberattaques…
Par définition, les objets connectés sont capables de collecter, traiter, mettre en forme et transmettre des données ; des fonctionnalités qui constituent une véritable valeur ajoutée pour des personnes malintentionnées.
Cela, les hackers l’ont bien compris. D’après une étude IDC, au cours des deux prochaines années, 90% des réseaux informatiques auront subi au moins une brèche liée à l’Internet des Objets.
Mais alors, comment les pirates informatiques peuvent-ils mettre à mal l’infrastructure d’une entreprise via les objets connectés ? Différentes portes d’entrées s’offrent à eux pour y parvenir :
Le vecteur d’attaque interne
La faible sécurisation de ces nouveaux équipements et autres objets connectés – professionnels ou personnels – représente une véritable opportunité pour les hackers. En effet, un collaborateur qui utilise son smartphone ou sa tablette peut permettre à une personne extérieure d’avoir un point d’accès à l’entreprise. Cette personne peut ensuite utiliser ce vecteur d’attaque pour tenter d’accéder aux informations locales ou profiter de ce support pour cibler les parties sensibles de l’infrastructure. Les premières attaques émises à partir de caméras de surveillance connectées ont été établies.
Le vecteur d’attaque externe
D’après une étude sur le marché de la cybersécurité menée par PricewaterhouseCoopers (PwC), le nombre de menaces externes augmente et proviendrait de fournisseurs (+32%) et prestataires de service (+30 %). Cette recrudescence de cyberattaques s’expliquent simplement : les entreprises travaillent de plus en plus en collaboration avec des partenaires externes, participant ainsi à l’expansion de la surface d’attaque. Si un partenaire est affaibli par une cyberattaque, l’entreprise en subit les conséquences.
l’utilisation des protocoles DNS pour pirater des données
Enfin, un autre objectif des hackers c’est le vol des données.
Lorsqu’un collaborateur se rend sur un site institutionnel ou grand public, l’ensemble des requêtes transitent par un serveur DNS de façon transparente pour les utilisateurs, mais un malware installé sur un PC pourra au travers du protocole DNS exfiltrer des données petits bouts par petits bouts. Comme la donnée volée est encapsulée dans le protocole DNS la quasi totalité des outils de sécurité ne verront rien puisque le protocole DNS paraît légitime et la sortie de données obligatoire pour obtenir une réponse d’un serveur DNS.
… aux conséquences désastreuses pour l’entreprise
Si le système d’information de l’entreprise est attaqué, tous les objets connectés sont paralysés : portes, caméras, ordinateurs, imprimantes… En effet, l’indisponibilité des données et des services ainsi que la perte définitive des données sont les principales conséquences de ce manque de protection. Ceci engendre inévitablement un risque économique (ex. : perte d’exploitation liée à l’indisponibilité d’un site web marchand par un déni de service le rendant inaccessible). Au-delà de cela, un piratage nuit fortement à l’image de l’entreprise.
Être une entreprise « multi-connectée » dans un monde régi par les datas impose de veiller à la sécurisation de tous les outils connectés et surtout à une vraie sensibilisation auprès de leurs concepteurs, pour se prémunir des cyberattaques.
Hervé DHELIN
Interview de Monsieur Goreta, fondateur des bracelets connectés Rift
Bonjour Monsieur Goreta, pourriez-vous vous présenter et nous présenter la start-up Rift ?
Rifft est un acronyme et veux dire : “Research & Innovation for future technologies”. Tout est dans le nom ! RIfft est une startup française qui se positionne sur les marchés technologiques actuels, avec une approche nouvelle et avec si possible une longueur d’avance sur la tendance du marché. Pour résumer: nous essayons de voir quelles sont les niches innovantes et non encore exploitées ou développées par les “block busters” actuels, selon les marchés visés.
Nous sommes installés depuis près d’un an à Sophia Antipolis (06) et nous sommes très fiers de lancer aujourd’hui notre première innovation technologie : le bracelet connecté CT Band !
Quelle est la principale innovation de votre bracelet connecté ?
Il y en a plusieurs, mais la première innovation, qui n’existe nulle part ailleurs, est le fait qu’il puisse se greffer
à presque n’importe quelle montre du marché en remplaçant le bracelet existant, avec quasi le même design de bracelet (cuir ou silicone) tout en proposant les mêmes fonctions qu’une montre connectée. Plus besoin de choisir entre sa montre classique (celle que l’on porte tous les jours) et un bracelet “connecté” puisque CT Band combine les deux.
Comment votre bracelet se démarque-t-il de tous les autres ?
Il n’y tout simplement pas d’autre bracelet à ce jour, offrant ces fonctionnalités et sa connectivité tant hardware (connexion physique à une montre) que software; intégrant toutes les fonctions liées aux capteurs . Pour cela il a fallu bien sur innover en matière de design électronique (de son épaisseur) en essayant d’offrir les fonctionnalités d’interaction d’une montre connectée : écran, notifications et commande (touch pad invisible). Chaque choix technologique et leur développement on été des challenges.
Ajoutons l’intégration de la quasi totalité des capteurs possibles, des fonctions stand alone,etc .. et des applications absolument innovantes sur smartphone (que l’on va aussi proposer aux intégrateurs tels que les fabricants de montres).
Vous ne trouverez pas non plus toute la gamme de capteurs dans un seul et même autre bracelet existant, il vous en faudrait plusieurs (comme par exemple, la mesure d’UV et du taux d’oxygénation ou d’humidité, etc … ) , et la combinaisons de ces données permet d’extraire un ensemble de nouveaux comportements, ou états tels que le niveau de stress, les émotions, le plaisir …
Qui sont les acteurs derrière le projet ?
Un ingénieur innovant, qui a plus d’un produit dans son sac : moi :-), et une petite équipe soudée et performante d’ingénieurs. CT Band a été entièrement conçu en France et une grande partie de la fabrication (hors composants électroniques) est française.
Par quel biais allez-vous distribuer l’objet ?
Nous visons essentiellement 3 marchés :
1 – Celui des fabricants de montres, (grandes marques) à qui nous proposons de fournir le noyau électronique, qu’ils n’auront alors qu’à habiller avec leurs “bracelets” et auxquels nous fournissons les outils logiciels leur permettant de rester en contact – à volonté – avec leur clients ( ce qui est aussi une innovation pour eux ) et d’offrir à ceux-ci un ensemble de fonctions et d’applications personnalisées.
CT Band est une réponse directe et immédiate pour tous fabricants actuels, sans avoir à développer leur propre électronique, ni changer leurs gammes de montres, à la concurrence des montres connectées, tels Apple Watch, Samsung etc…
2 – Celui des boutiques d’horlogerie/bijouterie , pour qui c’est un produit de complément indispensable , vu l’évolution des marchés et exigences des consommateurs, pour tout client désireux d’ajouter des fonctions technologiques avancées à la montre qu’il va acheter sur place.( il aime par exemple le design d’une Tissot ou d’une Fossil, et aimerait avoir les fonctions les plus avancées d’une Apple Watch en même temps)
3- Celui de la distribution internet, via des gammes adaptées à ce marché
Sera-t-il évolutif au niveau de ses fonctions ?
Bien sûr, nous travaillons déjà sur de futures fonctionnalités, et de futures gammes, y compris des bracelets métalliques, mais nous espèrons déjà un grand succès avec le lancement de la première gamme SimpliCT.
Votre mot de la fin ?
CT Band est une réelle innovation sur le marché, preuve que même une petite équipe, avec des idées ( et en France on en a) et peu de moyens, peut concurrencer les plus grands sur leurs marchés !
Propos recueillis par Laurent Amar