Archive pour la catégorie ‘Interviews’
Kilian Bazin de Toucan Toco, auteur d’une étude sur l’internet des objets, répond à nos questions
Bonjour Kilian Bazin, pourriez-vous vous présenter à mes lecteurs qui ne vous connaissent pas encore ?
J’ai le plaisir de m’occuper de Toucan Toco qui a pour mission de démocratiser l’accès à la donnée via des interfaces interactives et simples d’utilisation, riches de dataviz et disponibles sur tablettes, smartphone et PC.
J’aide depuis maintenant 3 ans les décideurs et les populations qui n’ont pas le temps d’explorer une base de données à mieux comprendre ce qui se passe dans leur organisation, chez leur client…bref à leur résoudre les problèmes business qui les empêchent de dormir. C’est de l’association d’un design soigné, de l’écoute des problèmes métiers et de la technologie agile que découlent des outils logiciels efficaces qui gomment la complexité au lieu d’en rajouter. C’est ceux-là que j’aime développer. Lire la suite de cette entrée »
Stéphanie Collot nous présente le prochain salon dédié à l’Internet des objets : “Connect IT”.
Bonjour Stéphanie Collot, pourriez-vous vous présenter et nous présenter la société Comexposium ?
Comexposium, l’un des leaders européens de l’organisation d’événements, est impliqué dans 114 manifestations grand public et professionnelles, couvrant 17 secteurs d’activité. Le Groupe accueille chaque année : 38 000 exposants dont 40% d’internationaux et 3,5 millions de visiteurs dont 350 000 étrangers.
Pour ma part, je suis dans le Groupe depuis 16 ans et je suis la directrice des salons Paris Games Week (salon du jeu vidéo grand public) et #Connect-it, le 1er rendez-vous grand public dédié aux nouvelles technologies et aux objets connectés. Lire la suite de cette entrée »
Interview du fondateur de Kosmo, Ylann Wajsbrot, spécialiste des cigarettes électroniques connectées.
Bonjour Ylann Wasjsbrot, pourriez-vous vous présenter et nous présenter la société Kosmo ?
Fondée en 2013 à Paris – France, Kosmo est une startup développant des produits intelligents et élégants qui vous aident à avoir une vie plus saine. Notre premier combat, rendre aux fumeurs liberté et contrôle au travers de notre e-cigarette connectée : Kosmo. Kosmo agit comme votre coach personnel pour réduire sans effort votre consommation de nicotine. L’équipe Kosmo rassemble des profils passionnés en design, marketing, communications, ingénierie électronique, informatique et mécanique, tous unis par une vision commune.
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MedPi 2014 : Interview de Pierre Triboulet, des enceintes connectées Jarre Technologies
Au MedPi 2014, étaient présentes les enceintes Jarre Technologies ; nous y avons rencontré le directeur de la marque, Pierre Triboulet.
Nées de la passion commune à Pierre et au musicien mondialement connu Jean-Michel Jarre pour le son haute-fidélité, ces enceintes constituent un modèle de design et surtout de connectivité. Lire la suite de cette entrée »
Laurent Amar interrogé par ITWEB.TV sur l’Internet des objets.
En tant que Rédacteur en chef du magazine www.les-objets-connectes.fr, j’ai eu l’honneur de participer à un débat sur l’Internet des objets lors du salon Time2Marketing à Paris.
Une interview me fut proposée juste après afin d’en dire plus sur cette technologie déjà présente pour bon nombre d’entre nous.
Voici l’interview, cliquez Ici pour lire la vidéo
Bon visionnage.
Laurent Amar
Medpi 2014 : Interview de Jean Varaldi, directeur chez Qualcomm France
Bonjour monsieur Amar. Je suis Jean Varaldi, directeur des activités de Qualcomm en France.
Notre société fêtera bientôt ses 29 ans. Nous sommes dans l’univers du mobile depuis le premier jour en fournissant des processeurs pour de célèbres marques de téléphones portables.
En 2013, nous avons équipé plus de 700 millions de terminaux dans le monde. La quasi- totalité des constructeurs utilisent aujourd’hui nos solutions.
Pourquoi Qualcomm a-t-il décidé de se lancer dans l’Internet des objets ?
Nous avons décidé de contribuer à l’industrie des objets connectés en proposant des solutions de connectivité de type Wifi ou Bluetooth et avec de faibles consommations d’énergie. Nous avons toute une activité semi-conducteur performant et économe afin de pourvoir au marché des objets connectés.
Enfin, nous pensons qu’il faut un écosystème complet pour qu’un marché puisse exister et perdurer. Les objets connectés peuvent se développer s’ils ont un environnement qui permet à des objets différents et de marques différentes d’opérer, de s’intégrer et de s’apporter une complémentarité.
Parlez-nous de l’alliance AllJoyn ?
AllJoyn est une alliance de différents constructeurs, créée récemment et dont Qualcomm fait partie. Elle compte aujourd’hui une quarantaine de membres et le nombre augmente constamment.
Il s’agit d’une “brique” logiciel qui permet aux objets de communiquer leurs informations entre eux selon un protocole IP. Les différentes machines connectées peuvent donc, grâce à AllJoyn, communiquer entre elles et s’enrichir mutuellement.
Quel serait votre mot de la fin pour nos lecteurs ?
Nous avons reconstitué un appartement complet lors du dernier CES de Las Vegas avec une quinzaine de marques différentes d’objets connectés, tous ces produits pouvaient communiquer entre eux.
Je laisse imaginer à vos lecteurs ce que peut donner un environnement intelligent où tous les équipements peuvent échanger des informations.
Cela donne un habitat d’une grande intelligence ayant la capacité d’anticiper les moindres besoins du foyer.
Propos recueillis par Laurent Amar
Interview exclusive de Benoit Regent, dirigeant de WE BELIEVE chez Dentsu Aegis Network :
Bonjour Benoit Regent, pourriez-vous nous présenter la société Dentsu Aegis Network ?
Membre de Dentsu Inc., Dentsu Aegis Network est le premier réseau de communication véritablement mondial de l’ère numérique. Avec ses sept marques-réseaux mondiales (Carat, Dentsu, Dentsu media, iProspect, Isobar, Posterscope et Vizeum) et ses marques spécialisées/multi-marchés telles qu’Amnet, Amplifi, Data2Decisions, mcgarrybowen, Mitchell Communications (PR), psLIVE et 360i, Dentsu Aegis Network a pour objectif de devenir le réseau mondial préféré des entreprises recherchant une expertise et des capacités optimales en matière de services de communication de marques, médias et numériques. Pour cela, Dentsu Aegis Network propose une gamme innovante et caractéristique de produits et de services. Son siège se situe à Londres. Dentsu Aegis Network est présent dans 110 pays et emploie plus de 23 000 spécialistes. www.dentsuaegisnetwork.com
Les objets connectés seront-ils, à vos yeux, omniprésents autour du consommateur?
Nous assistons à un mouvement de fond, à une évolution logique de l’évolution des usages via la mobilité et la connectivité. Nous pensons que la connexion pour les objets va devenir une norme, et qu’elle se démocratisera plus ou moins dans l’ordre d’attente des consommateurs. On ne se demande plus si un ordinateur portable gère le wifi ; on ne se demandera plus si son frigo est connecté. Au-delà du téléviseur du salon qui devra faire converger la consommation de tous les contenus audio visuels linéaires ou non, on s’attend à voir progresser rapidement les objets de la maison et les objets de la santé et du sport – les wearables. Cela ne se fera pas forcément rapidement, car il faudra passer par une logique de fiabilité de la mesure qui n’est pas encore acquise, de sécurisation des données, et de convergence des protocoles. Mais les consommateurs sauront identifier les objets sachant le mieux exploiter les données pour améliorer leur quotidien. Ce n’est pas qu’une bataille technologique. C’est aussi une bataille applicative et un enjeu marketing important pour les marques.
Comment les agences de communication travaillent autour du sujet ?
Chez Dentsu Aegis Network, nous considérons que les objets connectés ouvrent des opportunités de communication. Pour nous, il s’agit clairement de médias. Ils sont intéressants car ils redéfinissent les notions de médias propriétaires et de CRM client. Ils transcendent la logique publicitaire en faisant naitre des conversations régulières entre les marques et leurs publics. Via notre « future communications department » à Tokyo, nous sommes en pointe sur la production d’objets connectés innovants, certains directement en lien avec les ondes cérébrales (par exemple nécomimi). Toutes les marques du groupe sont mobilisées autour du sujet ; notamment via le conseil pour définir les KPIs, via les applications mobiles capables d’optimiser la gestion des données collectées pour faire naitre de nouveaux usages, via l’optimisons la gestion de la donnée, via la dimension géolocalisée…
Google rachète Nest, est-ce un hasard d’organiser votre présentation chez eux ?
D’après nous, le rachat de Nest n’est qu’une illustration d’une philosophie commune qui nous anime chez Google et Chez Dentsu Aegis Network. Connecter le monde qui nous entoure grâce à la technologie génère de la valeur et fait évoluer le monde. Google ne travaille pas que sur les aspects domotiques ; nous non plus. Il nous paraissait donc cohérent et intéressant pour nos clients d’organiser cette manifestation chez Google, afin de pouvoir tester en live certaines technologies, et discuter globalement des projets concrets qui animent les deux entreprises autour des objets connectés.
Quels seront les futurs projets de Dentsu Aegis Network?
Nous réfléchissons beaucoup à l’intégration parfaite de ces objets connectés. Il est peu probable que nous compilions des dizaines de bracelets différents, chacun étant adapté à un usage dédié. Nous ne pensons pas que nous compilerons des dizaines d’applications différentes sponsorisées par des marques… Nous croyons à la convergence des technologies et du quotidien. Les objets qui marcheront coupleront simplicité, design et praticité. Nous travaillons beaucoup en open source pour créer des écosystemes mélangeant technologie et contenu. On parle beaucoup de native advertising en ce moment. Nous pensons qu’il faut aller vers le connected content. Sur l’aspect technologique pur, nous avons beaucoup de projets autour des objets directement connectés à vos ondes cérébrales ; beaucoup plus simples que les tendances prospectives liées à l’homme bionique, c’est une technologie qui fonctionne très bien.
Quel serait votre mot de la fin pour nos lecteurs ?
Le temps s’accélère… quand on voit la courbe d’adoption des tablettes en seulement quatre ans, on réalise à quel point les usages portés par la technologie s’intègrent rapidement. Personne ne sait véritablement qui sortira vainqueur de la bataille industrielle autour des objets connectés. Et ce n’est pas nécessairement le plus important pour nous. Ce dont nous sommes sûrs, c’est que c’est dès maintenant qu’il faut les intégrer dans les stratégies relationnelles des marques, et que l’une des priorités des annonceurs devrait être d’analyser les nouvelles données disponibles en temps réel qui vont permettre de créer de la valeur et donc de conquérir et fidéliser les clients.
Propos recueillis par Laurent Amar
Sébastien Joumard, directeur de Gigaset France, répond à nos questions.
Bonjour Sébastien Joumard, pourriez-vous vous présenter et nous présenter la société Gigaset ?
Bonjour Laurent Amar, Je dirige la filiale française de Gigaset Communications depuis 5 ans, après 15 ans passés dans le secteur des télécoms. Je supervise également les activités en Europe du Sud et au Maghreb. Gigaset Communications est une ETI allemande issue de Siemens dont elle était une filiale jusque 2008. Nous sommes le leader européen et un acteur mondial dans la téléphonie résidentielle tout en restant les seuls à concevoir et fabriquer nos produits en Allemagne. Nous sommes également présents depuis 2013 sur le marché des objets connectés avec Elements, solution de surveillance de son domicile.
Pourquoi avoir choisi de lancer sur le marché français une gamme complète de tablettes ?
Le lancement d’une gamme de tablettes s’effectue précisément dans cette continuité de stratégie autour des objets connectés.
Après avoir équipé un foyer sur quatre en Europe et en France avec nos téléphones fixes sans fil dont la qualité est plébiscitée par les consommateurs, nous leur permettons maintenant de profiter de leurs contenus multimédia et de communiquer où qu’ils se trouvent grâce à ses tablettes.
Ne craignez-vous pas d’arriver sur un marché déjà fort concurrentiel ?
Certes, mais Gigaset bénéficie de la réputation de qualité de ses produits et nos deux premiers modèles de tablettes ne manquent pas d’atouts différenciant.
En outre, nous avons décidé de mettre en place une promotion particulièrement intéressante pour le consommateur afin d’accompagner le lancement de nos tablettes, sous forme d’une offre de remboursement qui commencera le 16 Avril et sera valable jusqu’au 15 Juillet.
Quels sont les principaux atouts de vos deux nouvelles tablettes QV830 & QV1030 ?
La Gigaset QV830 bénéficie d’un format compact et d’un design innovant. C’est une tablette particulièrement légère que l’on peut emporter partout, tous les jours.
Quant à la QV1030, son principal point fort est la résolution de son écran, 2560×1600, ce qui est supérieur au FullHD et permet de regarder des films en 4K sans perte de qualité. Elle intègre un processeur puissant NVidia Quad Core T40S cadencé à 1,8GhZ et une mémoire vive de 2 Go, ce qui lui permet de supporter les jeux pour tablettes les plus gourmands en ressources.
Elle ainsi est idéale pour profiter des contenus multimédia de plus haute qualité, que ce soit en voyage ou chez soi.
Peut-on s’attendre à l’arrivée prochaine d’une gamme de smartphone ?
Le smartphone est un segment sur lequel Gigaset serait tout à fait légitime en tant qu’acteur du marché des télécommunications, et qui s’inscrirait dans la continuité de sa stratégie d’évolution vers des produits de plus en plus connectés. Mais pour le moment aucun lancement de smartphone Gigaset n’est prévu.
Pour conclure Monsieur Joumard, quel serait votre mot de la fin pour nos lecteurs ?
2014 marque le début d’une nouvelle ère pour Gigaset avec l’arrivée d’investisseurs capable de soutenir notre développement et notre entrée sur ces nouveaux marchés. Avec l’humilité d’un nouvel entrant, nous avançons cependant avec beaucoup d’ambition sur ces marchés en très forte croissance.
Propos recueillis par Laurent Amar
Les Sextoys connectés : interview du fondateur de la société Eymalis.
Bonjour Stéphane Turc, pourriez-vous vous présenter et nous présenter la société Eymalis.
Eymalis a été crée en juin 2012 pour mettre en place la commercialisation de notre première gamme de jouets intimes en électro stimulation : l’intimate love toy – Nous sommes spécialistes dans l’industrie érotique. Concepteur et distributeur de collections originales et innovantes “Made in France”.
Comment se porte le marché du jouet érotique ou “Sex-toy” en France ?
Au mot sextoy, chez Eymalis, nous préférons employer ‘Jouet Intime’, cela sonne mieux et votre audience est beaucoup moins choquée. Lire la suite de cette entrée »
Interview exclusive de Eric Seulliet, créateur de “La Fabrique du Futur”.
Bonjour Eric Seulliet, pourriez-vous vous présenter et nous présenter “La fabrique du Futur” ?
Ce qui me caractérise peut-être le mieux, c’est un profil transdisciplinaire et polymorphe. Celui-ci ressort tant de ma formation (HEC + Institut d’Urbanisme de Paris) que de mon parcours professionnel avec des expériences multiples dans le domaine du management, de la pospective, de l’innovation, du marketing, ou encore des divers types d’entreprises dans lesquelles j’ai travaillé (grands groupes, PME, startups, indépendant)…
C’est probablement ce parcours diversifié qui m’a conduit à créer il y a une dizaine d’années la Fabrique du Futur, que l’on pourrait définir comme un think tank qui promeut des nouvelles formes d’innovation : co-création, open innovation, approches design thinking et living labs (La Fabrique du Futur est labellisée living lab). Une évolution qui a abouti récemment a été de passer de “think tank” à “do tank” : c’est ainsi que la Fabrique du Futur a créé à l’automne dernier avec deux partenaires (le hub d’innovation Creative Valley et l’Ecole Epitech) le Discovery Innovation Lab (DIL). Le DIL pourrait se décrire comme un dispositif global d’accompagnement de l’innovation, permettant de passer de l’idée au marché. Le coeur de métier du DIL est de faire du prototypage rapide dans ses fablabs et de l’expérimentation avec les usagers. Lire la suite de cette entrée »
Interview de Frédéric Salles, fondateur de Matooma.
Bonjour Frédéric Salles, pourriez-vous vous présenter à nos lecteurs qui ne vous connaissent pas encore ?
Frédéric Salles, j’ai 38 ans et une formation d’ingénieur en informatique. J’ai eu l’occasion de travailler pendant 4 ans pour IBM en tant que consultant dans les systèmes collaboratifs et pendant 10 ans pour SFR en tant que responsable de secteur (les 4 premières années) puis responsable national du marché M2M.La création de Matooma est le mix de ces 2 expériences. Lire la suite de cette entrée »
Interview exclusive de Francois Esmenjaud, directeur marketing chez Polar.
Bonjour Monsieur Esmenjaud, Pourriez-vous vous présenter et nous présenter la société Polar ?
François Esmenjaud, directeur marketing Polar France. Polar est une entreprise Finlandaise qui a été crée en 1977 au bord d’une piste de ski de fond. A cette époque, il était très contraignant de prendre le pouls des sportifs surtout en hiver: c’est à partir de là et de ce constat que Polar et le premier “cardiofréquencemètre” ont été crées.
Polar est spécialisé depuis plus de 35 ans dans la mesure et l’analyse de la fréquence cardiaque. Au delà de données brutes, c’est l’analyse et la simplification de celles ci qui font la différence.En effet, l’expertise de Polar se caractérise dans le smart coaching: des fonctions simples et ludiques basées sur l’analyse de la FC et qui permettent à l’utilisateur (même néophyte) de bien s’entraîner, de bien mesurer son effort et surtout de progresser.
A côté de ces données “qualitatives” basées sur la FC propres à Polar, nous avons bien entendu une analyse “quantitative” basée sur les données du GPS (vitesse, distance, altitude, parcours sur le web…) Lire la suite de cette entrée »