Alexandre Thevenot et Lucas Valverde

Bonjour Alexandre, Pourriez-vous nous présenter le projet Flaggit ?

Flagg’it permet de mettre des repères sur vos vidéos en cours d’enregistrement. Pendant que vous filmer appuyer sur le dispositif pour marquer vos meilleurs moments. Par la suite, notre logiciel matérialise ces instants sur votre vidéo afin de les retrouver instantanément sans avoir à en visionner l’intégralité.
C’est une petite télécommande qui fonctionne avec l’ensemble des caméras du marché ayant un microphone.

Pourquoi avoir créer une telle télécommande, correspond t-elle à une véritable demande du marché ?

Nous avons développé ce dispositif suite à un besoin personnel. Nous n’utilisons plus notre caméra car nous passons trop de temps sur le dérushage et montage des vidéos.
Nous travaillons sur ce projet depuis un an environ. Depuis le mois d’octobre GoPro a mis en place le même dispositif sur leur dernier modèle uniquement. Désormais nous offrons cet fonctions à toutes les caméras du marché. Le développement d’un tel produit par GoPro confirme les besoins du marché.

Quel est son fonctionnement ?

Flagg’it se connecte aux caméras à l’aide d’un signal sonore. Nous effectuons un traitement audio pour retrouver le signal de synchronisation. L’utilisateur peut alors appuyé librement à chacun de ses meilleurs instants. Des petits flagg identifierons ces instants sur votre vidéo

Ou en est votre campagne de financement participatif ?

A 2 jours du lancement, nous avons récolté 30% soit plus de 15 000$. La suite est prometteuse…

Quel est votre cursus ?

Nous avons fait un cursus ingénieur en électronique puis une spécialisation dans la nano-technologie. Et la passion de la vidéo et des sport de glisse a pris le dessus pour la création de Flagg’it

Votre mot de la fin Alexandre ?

Flagg’it est un produit innovant, nous souhaitons accomplir la campagne pour le produire industriellement. Nous travaillons fort sur d’autres innovations autour de Flagg’it pour simplifier le montage vidéo. Rendre aux sportifs du temps sur les pistes et les terrains plutôt que devant leur écran.

Propos recueillis par Laurent Amar

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